Ma plaie sans cicatrice
1789, une tête tombait, un socle d’histoire, un coq criait sans son. Sur la marée des pavés, le peuple gueulait sa rage de vaincre, la bastille sautait, des plumes venaient de partout, et le caca d’oie sauvage naissait – la bourgeoisie prenait contrôle du trône, et la monnaie circulait dans tous les sens du levant au poney, euh ponant. Un flot de citées corsaire, où fleurissaient les saisons. Les navires partaient plus loin vers l’horizon conquérir des esclaves, la sève des troncs d’arbre, l’encens coulait comme le sang du roi de la basse-cour. A Terre le vert de vessie, et vive l’étendard standard Bleu, Blanc Rouge, naissance du « bourgeois gentilhomme » (Jean-baptiste Poquelin la mit en vers solitaire, pardonnez ma cécité monseigneur ! )
Puis vint les siècles des lumières, le noir s’installait partout, et le rouge du sans travail, le cerf-volant (robin des bois, mettait à terre, voir à genou, les discours des maîtres des lieux, des adieux au cimetière avant l’adolescence de la bière, ce houblon qui fait oublier que le sapiens sapiens, n’est guère qu’un singe descendu de l’arbre, sa tombe un vase d’encre de chine, ou une pierre nominale, granite, mais je m’égare dans cette guerre, des drapeaux flottent comme des crapauds s’écrasent sur le sol de Maridadou, et chante le bagadou. La bourgeoisie est un état de fait, pas d’ébriété, pas de fête, elle est monnaie courante, tel le Fromveur entre deux estrans, étranger au flux monétaire, je n’ai que deux mots à dire : Liberté, Ẽgalité, car le vers million à trop de sang-sue sur le cœur. Je pleure.
Comment rendre plus juste la société, plus propre ? Moins pyramidale sans ôter le goût de l’effort : le mérite.
Il ne faut jamais oublier que l’essentiel dans la vie est le partage, sans l’autre on est rien
Voici un œuf, transformez le en Camembert :
40 % pour l’état
20 % Pour le vendeur
20 % Pour la chaîne de distribution
20 % Pour le producteur
Bien sûr cette taxe est là pour réduire les impôts, fini la fiche, retour au règne de la TVA, petit rappel de ce qu’est la taxe sur la Valeur ajoutée. L’état s’octroie un pourcentage sur la naissance d’un produit, d’un service, et de plus l’ogre titanesque, prend de l’argent pour son règne. Voir Budget de l’état :
En France, les routes sont construites, reste des logements, un toit, qu’on casse le jeun, la faim, et étanche la soif de travailler, pour cela, il est vital d’augmenter le SMIC, et les CDD, CDI Et je ne m’oublie pas AH, handicapé moteur où physique, ils ont le droit à des projets, eux aussi… La pension de reversions… Comment une femme/un homme peut payer ses dettes, et vivre si l’on a perdu son conjoint juste au début de sa retraite ?
Comment augmenter les salaires? En versant l’impôt patronale sur le compte de son employé, et cela pour éviter la crise terrible qui fait trembler l’Amérique et dérive vers l’Europe. C’est idiot, je sais ! Mais pour les banques on crée du vide, du rien, de l’argent fumée, de l’écran totale et elles recommencent le rond du vice. J’aimerais voir se créer une société ainsi fête, faite de deux escaliers en colimaçon :
—| ————|— Riche
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Classe moyenne
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— | — — — — — — —— — | — La base
— |— — ———— — —|— Classe moyenne
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—| ————|— Chômage
Si l’on se base sur la base actuelle trop de gens travaillent, sans pouvoir vivre décemment, je n’ai pas les chiffres, ce que je sais c’est qu’aujourd’hui trop de gens souffrent de ne pas pouvoir aller au cinéma, s’acheter disques et DVD, ne pas allez voir des spectacles vivants, ou plus grave encore nourrir sa famille, se serrer la ceinture, comme devrait le faire l’état, si bien conseillé pour nous faire croire à nous les pauvres que « Travailler plus pour gagner plus » reste un slogan pas évident. Après où trouver du temps libre, les 35 heures une bonne idée, mais sans argent l’on s’ennui et l’on gave la baudruche de l’élite qui navigue en grosse cylindré, pendant que l’on empêche le vent de respirer.
Je crois que le Sapiens Sapiens devrait arrêter de s’étendre de construire et penser un peu aux animaux, ceux que l’on castre, ceux qu’une laisse empêche de courir… Petit, encore je le suis, plus jeune, j’ai vu ma chienne nommée Daisy coincée, et mon père lui jeter un seau d’eau, et je ne pouvais pas comprendre que les animaux, aujourd’hui, sont élevé, sans connaître le plaisir, il paraît qu’un papillon ne vole qu’une journée, au moins lui il plane, et le soir il s’éteint…
— Que penser du veau doux ?
Sur Terre, les humains sont bien bête, ils croient détenir les clefs du destin, mais inutile de calculer ce que peut-être demain, gardez l’espoir du père Noël, le sourire de l’enfance, soyez responsable sur les bleus de votre âme, mais n’oubliez jamais que celui qui sème le grain de folie ne récolte pas le fruit de la passion.
Patience, jeu de carte, chasse aux trésors, l’humour, l’amour, et oublier l’amer des rivages…