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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 11:19

Une fleur papi russe fige ma peur au cœur de mes racines, espace infini, tu ressembles à une prison paradis, mandarin de première classe, président de n'importe quel pays, États-Unis ou pas, soigne mes insomnies. La Terre ne respire plus que l'amer et des flots d'injures déferlent sur les murs : " Un voile viole ma sœur dame ! "

 

J'observe et cultive ma réserve pas les champs de pépites et des gisements d'or

 

Prince dormant les yeux ouverts, j'n'ignore pas le secret des tiens tout vert, jamais j'admettrais la soumission de tes paupières, pépites d'écorces de chocolat, amendes, etcetera...

 

Au nom de l'encre de chine, je bande plus mon arc-en-ciel, flèche brisée, murmure des anciens et poussière d'ange, démon ancré aux fonds marins, je voyage dans l'infini cercle de ma conscience, chien qui danse sur la marre aux nénuphars, brise larme, brise charme, vent de tes silences. Sous France, espace de liberté en deuil, dites-le-moi si nous aurions un futur sans être obligé de porter l’armure ?

 

Quarante et un an, le moyen âge celui où l'on brûle le neurone, drôle, et pique l'élastique de sa voisine, celle qui devine nos arrières pensées sauvages, jeunesse offerte aux calumets de la paix, je me pose sur un rocher et imagine que les sphinx volent de girouettes, en allumettes, et flambent tel des étoiles brûlant l'éther, Odieux éternel réponds-moi !

Le regard seulement blesse et divise ceux qui comptent en devise

 

Bruit lent, la rumeur circule, et comme le dis si bien tout le monde : "Le ridicule ne tue pas ! "

Ton absence si do ré fa sol la si ! Et il si facile ce silence fatale qui coule, relèvement et estime de soie, écharpe d'hiver, un  bateau qui a perdu  sa mère. Tangue, roule... et pleure sa pluie sans charme, sans arme. Malade.

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